Zbornik Radova Vizantološkog Instituta

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Publisher: Institute for Byzantine Studies of the Serbian Academy of Sciences and Arts
ISSN: 0584-9888
eISSN: 2406-0917


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Navodnjavanje zemlje u srednjovekovnoj Srbiji
Navodnjavanje zemlje u srednjovekovnoj Srbiji
(francuski) Les données fournies par plusieurs chrysobulles de souverains de Serbie et d'un tsar de Bulgarie délivrés à des monastères, ainsi que par un inventaire des biens du monastère de Htetova, montrent qu'il avait été procédé à des travaux d'irrigation dans les territoires actuels de la Serbie et de la Macédoine, c.-à-d. dans les contrées qui, à la suite de conquêtes successives depuis les dernières décennies du XIIe siècle jusqu'au milieu du XlVe siècle, étaient durablement entrées dans le cadre de l'État serbe médiéval. Les monastères obtenaient des souverains le droit d'utiliser l'eau pour l'irrigation de leurs champs. Un higoumène pouvait, sous certaines conditions, autoriser une personne extérieur à son monastère à irriguer ses champs en prenant l'eau d'un canal principal ou secondaire.
Nemanjići i Sveti Nikola u Bariju
Nemanjići i Sveti Nikola u Bariju
(francuski) La proximité de la seconde tombe de saint Nicolas, saint du Christ le plus vénéré et évêque de Myre, dont les reliques ont été translatées a Bari en 1087, a fortement influe sur l’ampleur des donations adressées a ce saint a partir de la fin du XIIe siècle, tout d’abord par le fondateur de la dynastie serbe, grand joupan Etienne Nemanja, puis par ses successeurs sur le trône de Serbie. Ainsi, vers 1290, la reine Helene et ses fils Etienne et Uroš a envoyé a Bari une icone avec revêtement sur laquelle étaient représentes, au registre supérieur, un buste du saint et, au registre inferieur, les donateurs avec inscriptions en latin. Une icone des apôtres Pierre et Paul d’un aspect semblable et tout aussi ancienne, offrande des mêmes donateurs, est aujourd’hui conservée au Vatican. Puis le roi Etienne Uroš II Milutin a fait parvenir a Bari une grande quantité d’argent ayant servi a la confection, vers 1319/20, d’un autel avec ciborium, d’un grand pâla d’autel, de dix-huit lampes, de deux grands chandeliers et d’un encensoir. L’intrados du ciborium était orne d’un ciel étoile avec représentations de Dieu le Père et des quatre évangélistes, alors que les plaques d’argent habillant l’autel étaient rehaussées de figures de saints en bas-relief. Le pâla était quand a lui domine par une figure monumentale de saint Nicolas entoure des scènes de sa vie, de ses miracles et de représentations du Christ, de la Vierge et d’autres saints. Enfin, les lampes et l’encensoir offraient une décoration en émaux cloisonnes constituée de représentations de saint Nicolas, d’aigles bicéphales, des Grandes Fêtes ainsi que d’un portrait du donateur et de son blason. La réalisation de ces objets a été supervisée par Obrad, fils de Desislava, de Cattaro, et assurée par le premier maitre Roger et le maitre Roberto qui était de Barletta. Les éléments de l’autel de Milutin sont restes en place jusqu’en 1682. Vers la fin de 1325 le roi Etienne III Uroš a fait don pour la tombe du saint d’une grande icone sur laquelle saint Nicolas était représente, quasiment grandeur nature, alors qu’apparaissent a droite et a gauche des ses jambes les portraits du donateur et de son jeune fils et cosouverain Du{an. Avant d’être envoyée a Bari cette icone a été repeinte et a reçu un revêtement en argent dore qui portait également une inscription ou figurait le nom du donateur alors qu’y a été joint, lors de l’expédition, une grande étoffe dorée avec broderie dorée. Par la suite cette image a été considérée comme un portrait authentique de l’évêque de Myre. Par sa charte du mois d’avril 1346 l’empereur Etienne Dušan a attribue une rente annuelle de deux cents hyperpères aux chanoines de la basilique pour l'achat de cire et la mention de ses ancêtres et de sa famille lors des prières. Bien que cet acte ait été par la suite confirme par son fils, l'empereur Uroš, les Ragusains, qui devaient procéder au versement de cette rente annuelle, ne s'y sont jamais conformes. Entre 1346/47 et 1353, le césar Gregoire Golubić a adresse a la basilique Saint-Nicolas deux lampes et un encensoir en argent orne d’émaux cloisonnes avec représentations d’anges, d’aigles bicéphales et d’animaux fantastiques, une mitre ornée de 1007 perles sur le fond en soie de laquelle étaient représentes en broderie d’argent et d’or le Christ, la Vierge, saint Jean-Baptiste, saint Nicolas et d’autres saints accompagnes des armes du césar, une étole en soie sur lequel ont de même été brodées a l’aide de fils d’or et d’argent les représentations de 13 saints, ainsi qu’un manipule du même matériau sur lequel étaient brodes l’arme du césar et des animaux fantastiques. De toutes les offrandes mentionnées ne sont plus aujourd’hui conservées dans le trésor de la basilique de Bari que la grande icone d’Etienne III Uroš et la charte de Dušan.
New observations on the miniature of the vision of Saint Gregory of Nazianzus in Paris. GR. 510
New observations on the miniature of the vision of Saint Gregory of Nazianzus in Paris. GR. 510
The article deals with the iconography of the illustration of the Second Paschal Homily of St. Gregory of Nazianzus on fol. 285r of the Paris manuscript. It questions the identity of the woman saint represented on the right of St. Paraskeve in the lower register of the scene. Unlike that above St. Paraskeve, the inscription identifying this second woman saint is fragmentary and difficult to read, but it has been widely accepted that she is Saint Helena, mother of the Emperor Constantine the Great. On the basis of two other representations of Helena in the same manuscript and of the style of the inscription accompanying them, as well as taking into account the importance of the theological meaning expounded by St. Gregory in his oration, it is suggested that the second woman saint may be St. Kyriake.
Nochmals zum cursus honorum des Konstantinos, des neffen des Patriarchen Michael I. (Kerullarios)
Nochmals zum cursus honorum des Konstantinos, des neffen des Patriarchen Michael I. (Kerullarios)
Our first reconstruction of the cursus honorum of Constantine, the oldest nephew of the patriarch Michael I (Keroularios), was recently contradicted by the British scholar Michael Jeffreys with suggestions based on misunderstandings and partially less relevant sources. For this reason we feel obliged to offer a detailed reexamination of all the available and relevant sources. Constantine’s date of birth is unknown. Offices of βεστάρχης καὶ μέγας κουράτωρ τῶν Μαγγάνων, which we prefer to date in the reign of emperor Isaakios I, as well as offices of μάγιστρος καὶ σακελλάριος (of course not in the patriarchat!), demanded great responsibility and experience, which a young man of some twenty years could hardly have possessed. We do not see any reliable indicia prohibiting Constantine’s promotion to the high title of πρόεδρος already before Konstantinos X became seriously ill or even before the solemn oath of the empress Eudokia Makrembolitissa was annihilated. We could, in fact, say that Ioannes kaisar suspected Constantine and his brother Nikephoros, who had acquired such dignities during the reign of Konstantinos X, as potential rivals, so he, therefore, forced the Augusta Eudokia Makrembolitissa in 1067 to swear that she would not admit her relatives to the administration of the empire after basileus had passed away. A short note in the History of Nikephoros Bryennios, that Constantine had at some time ambitions to ascend the throne could be even the background for the Augusta’s forced oath. Psellos’ correspondence does not offer any hint sharing responsibility of Constantine πρόεδρος during the conspiracy against Konstantinos X (1060). Constantine was neither addressee of Psellos᾿ letter 21 (in the edition of Gautier), nor πρωτοπρόεδρος καὶ ἐπὶ τῶν κρίσεων, because the letter’s content and superscription do not fit together. So we are not allowed to assume for Psellos a title higher than πρωτοπρόεδρος, not to mention that it cannot be supported that he held this title between 1064 and 1068. Constantine and Psellos, are both attested with the same title πρωτοπρόεδρος only for the year 1072. There has not been a synchronous „running side by side“ between Constantine and Psellos, as the latter was already in 1047 βέστης, 1056 still βεστάρχης and became πρόεδρος during Isaakios I.
Novelisim Konstantin, Mihailo V i rod Paflagonaca
Novelisim Konstantin, Mihailo V i rod Paflagonaca
La lignée des Paphlagoniens, leur conquête de la couronne impériale, mais aussi leur destruction rapide et totale, représentaient un phénomène unique dans l'histoire de Byzance du Xle siècle. Depuis leur première apparition dans les sources byzantines, jusqu'au déclin final de la famille en 1042, ce n'est qu'une dizaine d'années plus tard, pendant lesquelles les membres de la branche des Paphlagoniens avaient réussi à se soumettre toute une administration de l'Empire, et grâce à la solidarité familiale, à parvenir à une énorme richesse. Ils étaient aussi spécifiques par le fait qu'ils représentaient un genos clos, une élite autosuffisante, les Paphlagoniens par leur politique ont indiqué l'importance des relations familiales dans l'Empire qui après la mort de Basile II et Constantin VIII était rentré dans une longue lutte pour la conquête de la couronne impériale, mais aussi pour la légitimité souveraine qui avait été requise dans la relation avec les membres féminines de la dynastie macédonienne, Zoé et Theodora. Le règne des Paphlagoniens a été interrompu pendant les rébellions à Constantinople en avril 1042, lorsque Michel V a été chassé du trône et aveuglé avec son oncle - le frère de sa mère - le nobélissime Constantin. La relation de Michel V le Calfat avec le nobélissime Constantin, leur coopération et discordes mutuelles avec l'autre partie de la famille des Paphlagoniens à la tête de laquelle se trouvait Jean Orphanotrophe, représentaient le point de départ du présent ouvrage. Plus précisément, la circonstance que Michel V se soit vivement confronté aux membres de la famille des Paphlagoniens, à laquelle lui-même appartenait par la ligne féminine, imposait une relecture et une nouvelle interprétation des sources, afin de tenter de dépasser leurs données contradictoires. Parmi les sources qui décrivent les événements depuis le règne de Romain III Argyros (1028-1034) lorsque les Paphlagoniens apparaissent pour la première fois dans les sources et lorsque débute leur apogée, jusqu'au déclin de toute la famille en 1042, l'une des plus importantes est aussi celle de Jean Skylitzès. Cependant, c'est aussi la plus problématique, c'est-à-dire sa déclaration et ses données divergent au premier abord même assez visiblement - des données de Michel Psellos Jean Zonaras ou Michel Attaliate. Une lecture plus détaillée de Skylitzès apporte sa déclaration en harmonie, avant tout avec certains détails uniques que nous transmet Michel Psellos, mais aussi avec l'image complète de l'expansion, du règne et du déclin de la famille de Paphlagoniens. En premier lieu, Skylitzès souligne l'importance des eunuques influents de Constantin VIII, qui avaient eu un grand rôle également dans la venue au pouvoir de Michel IV, en 1034, de Michel V, en décembre 1041, mais aussi dans sa destitution seulement quatre mois plus tard. Le cercle de personnes influents dans la cour de Constantin VIII, a été partiellement repoussé déjà par la politique familiale de Romain Argyros, à moins qu'ils ne soient passés dans le clan de ce basileus aristocrate, comme cela a été le cas avec l'eunuque Syméon (pendant le règne de Romain, il était le domestique des scholes d'Orient et le prôtovestiaire qui avait aidé l'ancien éparque de Constantinople à accéder au trône impérial). Insatisfait par le règne de Romain Argyros, les courtisans influents de la cour de Constantin VIII avaient tenté de voir en la famille des Paphlagoniens une manière de reprendre leurs anciennes positions et de reconquérir leur ancienne influence. Dirigés par ces idées, et jouissant des faveurs et de la confiance de l'impératrice Zoé, sur laquelle ils exerçaient une grande influence, avec son aide à elle, avec l'Orphanotrophe, ils ont ramené Michel IV au pouvoir. Jean Skylitzès et encore plus explicitement Jean Zonaras soulignent leur retour dans le palais impérial après la mort de Romain Argyros, c'est-à-dire leur complicité dans la venueau trône de Michel. Dès la conquête du pouvoir, les Paphlagoniens se sont chargé à placer les membres de leur genos aux plus importantes positions, afin de repousser l'influence des assistants de Romain Argyros, mais aussi les puissants du cercle de Zoé. C'est ainsi que la suite de la cour de l'impératrice Zoé a été remplacé, suite que maintenant à la place de ses fidèles servantes représentaient les membres féminines de la famille des Paphlagoniens, les cousines de Michel IV et de l'Orphanotrophe. Pour le duc d'Antioche à la place de Théophylacte Dalassène a été placé le troisième frère par aînesse Nikétas, et lorsque ce dernier est mort, cette même année 1034, il a été remplacé par le frère suivant Constantin, alors que le plus jeune Georges était devenu prôtovestiaire à la place de l'eunuque Syméon. La commande militaire à l'ouest avait été confiée par les Paphlagoniens à leurs cousins par ligne féminine: leur beau-frère le patrice Etienne Calfat, était le commandant de la flotte, et en 1040, le commandant de Théssalonique était le patrice Constantin - vraisemblablement le fils d'Etienne Calfat et le frère germain de Michel V. D'une façon similaire, les Paphlagoniens propageaient également leur influence dans l'Église. Comme Romain III Argyros, eux aussi faisaient venir sur les chaires de mitropolites leurs cousins (Antoine Pahys à Nicomédie), s'attiraient les faveurs des anciens membres du clan de Romain Argyros dans la tentative de faire venir l'Orphanotrophe sur le trône patriarcal (Démétrios de Kyzikos), ou plaçaient des personnes proches à eux le plus souvent originaires de Paphlagonie (Léon, l'archevêque de Bulgarie voir aussi l'eunuque Constantin Fagitzès, Paphlagonien de naissance et membre de leur clan). Dès 1034, probablement pendant la première année de leur règne, les frères Paphlagoniens ont fait de leur mieux afin d'assurer l'héritage de la couronne dans le cadre de leur famille. Le fils d'Etienne Calfat et de leur soeur Maria, Michel, a été proclamé césar, comme celui qui hériterait Michel IV, puisque le seul frère qui n'avait pas été eunuque Nikétas, était mort déjà en cette année 1034. Pourtant, ce qui manque chez Skylitzès, Zonaras et Attaliate, est complété par les données de Michel Psellos - de la Chronographie, mais aussi d'un discours du début du règne de Constantin Monomaque où Psellos avait donné un court histoire de l'Empire et des empereurs depuis Basile II jusqu'à Monomaque. Dans les deux lieux Psellos mentionne que Jean l'Orphanotrophe, rapidement avoir s'être brouillé avec son neveu Michel Calfat, avait tenté dans le cadre de sa famille à retrouver nouvel héritier de la couronne. Les données des autres écrivains confirment la querelle de Michel IV et de l'Orphanotrophe avec leur neveu mais aucun d'eux ne l'explique de plus près et ce ne sont que les allusions de Psellos dans ce cas-là, plutôt claires, qui contribuent à une meilleure considération des relations dans la famille des Paphlagoniens mais aussi dans le sommet-même de l'État. Ce n'est qu'après comparaison de leurs données que nous pouvons avoir une idée plus claire sur les événements qui se sont déroulés de 1034 jusqu'à 1042: dès la prise du pouvoir, Michel IV et l'Orphanotrophe proclament leur neveu Michel césar; un peu plus tard, ils renoncent à ce dessein, en interdisant à Michel Calfat même d'accéder au palais; en cherchant un nouvel héritier appartenant à leur lignée, ils se retournent vers le frère de Michel Calfat, Constantin, commandant de Théssalonique en 1040, qui avec succès avait fait la guerre avec les Bulgares et a reçu le haut titre de magistros; Michel Calfat retrouve le soutien pour la lutte contre l'Orphanotrophe dans le cadre de sa lignée - à son côté se trouvent les deux plus jeunes frères des Paphlagoniens Constantin et Georges après la mort de Michel IV, ils réussissent à repousser l'Orphanotrophe et à obtenir un accord avec l'impératrice Zoé et son entourage -après quoi Zoé adopte Michel et il devient basileus; Michel V règle tout d'abord les comptes avec les adversaires au sein de sa lignée tandis qu'à son oncle il attribue le haut titre de nobélissime. Après cela ils se lèvent ouvertement contre l'impératrice Zoé; après avoir chassé Zoé une révolte éclate à Constantinople, à la tête de cette révolte se trouvent les puissants de l'époque de Constantin VIII, repoussés par les politiques familiales de Romain Argyros et des Paphlagoniens. Ils tirent de son couvent la princesse Theodora, la proclament impératrice et, méfiants envers Zoé ils crèvent les yeux à Michel V et au nobélissime Constantin. Craignant de confier le pouvoir à l'impératrice Zoé - dont les accords politiques leur ont causé la perte de leurs positions - ils réussissent à réaliser leur influence à travers le règne commun des deux sœurs; après avoir renversé les Paphlagoniens, les organisateurs du soulèvement gagnent de nouveau les plus hauts rangs dans l'armée: Nicolas, l'eunuque le plus puissant de Constantin VIII devient de nouveau le domestique des scholes d'Orient, Constantin Kabasilas, substitué au tout début du règne des Paphlagoniens, devient le domestique des scholes d'Occident. Le nobélissime Constantin, que Michel Attaliate surnomme à tort le patradelpsοz de Michel V, a été renvoyé à Constantinople uniquement dans le but de découvrir l'abri du trésor près de son oikos près des Saints Apôtres où ont été dissimulés, selon Skylitzès presque 1700 kilogrammes d'or.
Novi podaci o Kapadokiji u IX veku - crkva u Ičeridere
Novi podaci o Kapadokiji u IX veku - crkva u Ičeridere
(francuski) Analyse des peintures conservées dans un complexe rupestre inédit de la région d’Urgup. L'intérêt du programme, lie a la fonction funéraire de l’église, réside en particulier dans la composition du Jugement dernier qui inclut les vierges sages et folles de la parabole. Les particularités de l’iconographie et du style, l’épigraphie des inscriptions suggèrent une datation dans la seconde moitie du IXe siècle, et le décor peut être attribue au même atelier que l’église Saint-Theodore (Pancarlik kilise).
Novi podaci za graditeljsku istoriju katolikona svetogorskog manastira Pantokratora
Novi podaci za graditeljsku istoriju katolikona svetogorskog manastira Pantokratora
(grčki) Tēn periodo 2003-2006 ektelestēkan oi programmatismenes apo to KEDAK ergasies apokatastasēs toy katholikoy tēs Monēs Pantokratoros, oi opoies perielambanan tēn antikatastasē tōn molybdinōn phyllōn kalyyēs tōn stegōn kathōs kai tōn exōterikōn epichrismatōn toy sygkrotēmatos. Kata tē diarkeia tōn ergasiōn proekyyan neōtera stoicheia schetika me tēn oikodomikē istoria toy katholikoy. Sygkekrimena entopistēke ē stegē tēs anatolikēs keraias toy kyriōs naoy, proion epektasēs pros anatolas toy Ieroy Bēmatos kata to prōto miso toy 17oy aiōna, enō phanēke oti o sēmerinos kentrikos troylos toy naoy den einai o archikos, alla apotelei meros tēs megalēs anakainisēs poy egine sto sygkrotēma sta mesa toy 19oy aiōna. Se o,ti aphora tēn litē, katestē saphes oti ē sēmerinē tēs morphē proekyye apo ton diplasiasmo toy embadoy enos archikoy stenoy narthēka, enō oi steges sto dytiko tmēma toy sygkrotēmatos apektēsan tēn sēmerinē toys diataxē otan egine mia kath’ yyos prosthēkē ston exōnarthēka. Idiaitero endiapheron paroysiazei to gegonos oti opōs proekyye apo tēn paratērēsē tēs toichopoiias sto katōtero tmēma toy boreioy choroy toy katholikoy kai tēs anatolikēs kai tēs boreias toichopoiias toy parekklēsioy tēs Koimēseōs tēs Theotokoy, kai meta apo sygkrisē me tēn toichopoiia toy notioy choroy kai toy ypoloipoy kyriōs naoy, exagetai to symperasma oti to tmēma ayto mallon anēkei se palaiotero oikodomēma, to opoio ensōmatōthēke sto katholiko, ypothesē poy enischyetai apo ton entopismo stē notia pleyra tēs litēs, stē thesē toy katedaphismenoy parekklēsioy tōn Triōn Ierarchōn, enos toichoy palaioteroy apo to katholiko. Akomē, entopistēkan neōtera stoicheia poy aphoroyn stēn anadiamorphōsē, kata tēn anakainisē toy 19oy aiōna, toy isogeioy stēn boreiodytikē gōnia toy sygkrotēmatos kai schetizontai me tēn metaphora toy taphoy tōn ktētorōn stē sēmerinē toy thesē kai tēn prosthēkē toy exōnarthēka, ē opoia stathēke ē aitia gia tēn diaphoropoiēsē tēs archikēs prosbasēs pros to kōdōnostasio.
O Sv. Konstantinu Kavasili i njegovim portretima u svetlu novih saznanja
O Sv. Konstantinu Kavasili i njegovim portretima u svetlu novih saznanja
(francuski) L’auteur de cet article revient a l’étude du personnage de l’archevêque Constantin Cabasilas et de ses portraits dans le cadre de ses nouvelles découvertes (ZLU, 2, Novi Sad 1966) et dans la lumière des études d’autres auteurs. Dans cet article, on souligne particulièrement le fait que la figure de saint Nicolas de Myre appartient au groupe d’hiérarques peint sur le mur nord de l’église Sainte-Vierge-Perivleptos a Ohrid, en commun avec saint Clement et saint Constantin Cabasilas, ce qui mène a la conclusion que ce groupe n’est pas le seul groupe thématique de saints d’Ohrid. L’auteur s’attarde a l’inscription portant le nom de Cabasilas gravée sur le pilier de la galerie de Gregoire de 1313/14 et émet l’hypothèse que la mémoire de Cabasilas était également présente dans l’annexe sud de l’église Sainte-Sophie, récemment fouillée. L’annexe de Sainte-Sophie occupe une surface énorme, elle a été peinte dans la deuxième moitie du 13e siècle, ce que l’on peut déduire grâce au grand nombre de fragments trouves ou conserves in situ. L’auteur exprime sa réserve quant a l’opinion exprimée antérieurement que saint Constantin Cabasilas a été peint dans le narthex de l’église Sainte-Vierge- -Perivleptos a la tète du cortège d’hiérarques dans la Stychire de Noel de Jean Damascène, et il considère qu’il s’agit de la figure de saint Jean Chrysostome avec lequel Cabasilas a des ressemblances physionomiques. Plus exactement, dans ce premier cortégé a cote du trôné avec la Vierge, l’auteur reconnait saint Basile le Grand, saint Jean Chrysostome saint Grégoire le Théologien et partiellement la figure de saint Athanase le Grand. Derrière eux vient le cortège des saints empereurs chretiens avec saint Constantin et sainte Helene en tète. On suppose que derrière eux sont peints les empereurs de la dynastie des Paléologues. Puisque la figure du Protaton montre Cabasilas en tant que vieil homme (a la différence de ses portraits a Ohrid et a Staro Nagoricino), on émet l’hypothèse que saint Cabasilas, saint Erasme, saint Theophilacte et saint Clément du Protaton (chapelle de Saint-Jean le Précurseur, 1526) ont été peints selon l’original d’Ohrid qui n’est plus conserve vu la destruction de Sainte-Sophie et de Saint-Panteleimon de Clément sous la domination turque. La création de l’ensemble au Protaton qui était étudie par G. Subotić en tant que donation de l’archiprêtré Gabriel, est particulièrement mis en relief aussi en rapport avec la peinture des saints d’Ohrid mentionnes dans la chapelle de Saint-Jean le Précurseur. L’auteur de cet article attire une attention particulière sur la découverte de la vie et de l’office de Constantin Cabasilas ou on fait mention du jour de sa mort (le 18 octobre), ce qui signifie qu’il a été canonise. Ensuite, on indique les copies des canons des Quinze martyrs de Strumica, publiées plus tard (en grec et en slave), de la Bibliothèque nationale de Belgrade et de Sofia, ainsi que celles de l’éparchie de Strumica. On souligne l’importance des canons de Cabasilas consacres a saint Clément et a saint Naum dans lesquels, selon les notes de K. Nichoritis l’auteur parle des souffrances et des peines injustes subies dans la prison de Nicée, également mentionnées dans la vie rédigée par son disciple inconnu d’Ohrid. Au sujet du culte de saint C. Cabasilas, on signale que sa canonisation est due a sa popularité dans le diocèse d’Ohrid ou il a travaille pendant plus de 40 ans en tant qu’hiérarque de Strumica et de Durres et en tant qu’archevêque d’Ohrid. En même temps, on souligne sa collaboration avec Michel VIII Paléologue, c’est-a-dire avec son frère Jean lors de la prise d’Ohrid par les Nicéens, ce qui représentait en quelque sorte sa réhabilitation durant le long règne d’Andronique II Paléologue. L’auteur signale que les données relatives a la date de la mort de C. Cabasilas, ainsi que celles concernant son héritier sur le trône d’Ohrid ne sont pas connues.
O crkvi Svetog Nikole u Prilepu
O crkvi Svetog Nikole u Prilepu
(francuski) Nonobstant ses modestes dimensions, l'église Saint-Nicolas a Prilep est considérée comme un remarquable monument et, a ce titre, a souvent retenu l'attention de chercheurs s'étant intéresses tant a son architecture qu'a sa décoration murale. De construction relativement élevée, elle offre une partie inferieure en pierre non taillée au-dessus de laquelle s'élèvent des façades rehaussées d'une riche décoration cérame-plastique. Cet aspect extérieur, ainsi que les restes de fresques datant de deux époques différentes ont incite les chercheurs a conclure que la partie supérieure de l'édifice a été érigée sur les murs d'une ancienne église. L'auteur de ces lignes, qui a lui aussi aborde ce point (v. note 8), s'intéresse ici plus particulièrement aux valeurs générales de cette église, et en particulier a sa finition extérieure et ses façades qui peuvent être comparées avec celles des plus remarquables monuments de l'architecture byzantine tardive. Quant a la question de savoir s'il s'agit ici d'un ou deux édifices successifs seules des recherches archéologiques pourraient lui apporter une réponse définitive. Il n'en apparait pas moins que cette église, et notamment sa partie supérieure, relevé d'une remarquable réalisation architecturale. Pour cette raison, outre les fresques de grande qualité ornant ses murs, il s'agit assurément d'un monument qui contribue grandement a l'aspect pittoresque de la ville de Prilep. Aux fins d'illustrer au mieux ces constatations, cet article est illustre par plusieurs dessins réalises d'après l'idée de l'auteur. .
O jednoj srpsko-ugarskoj alijansi
O jednoj srpsko-ugarskoj alijansi
(francuski) Cet article est fonde sur une lettre adressée au pape, dans la seconde moitie de 1346, par un prélat hongrois inconnu, que son inventeur, le défunt académicien hongrois Pal Engel (1938-2001), a cède a l'auteur de ces lignes âpres en avoir reconstruit le texte. Son original est conserve a Vienne: Nationalbibliothek, Wien, Cod. 2042 f. 1a. Le contenu de cette lettre est ici publie en annexe selon le texte manuscrit de Pal Engel. Dans le commentaire sont exposes les arguments en faveur de sa datation de la seconde moitie de 1346, expliques les titres d'empereur des Grecs et de roi de Serbie respectivement portes par le souverain serbe et son fils. Les données relatives a une paix et un mariage convenu entre le roi Uroš et une parente du roi Ludovic Ier sont replacées mis dans le contexte des relations serbe-hongroises de la première moitie du XIVe siècle. Afin de se prononcer sur la réalisation de l’accord dont parle cette lettre l’auteur a une révision et un recoupement de toutes les données évoquant les projets de Du{an en ce qui concerne le mariage de son fils Uroš.
O problemu akumulativne vojne vlasti stratega, monostratega i stratega avtokratora
O problemu akumulativne vojne vlasti stratega, monostratega i stratega avtokratora
(nemački) Die hochrangigsten Kommandobefugnisse sind durch die akkumulativen Eigenschaften der Militargewalt, welche aus ihnen hervorgeht charakterisiert. In Byzanz wurde die Spitze der militärischen Hierarchie durch jene Funktionen repräsentiert, die das Potenzial hatten, in hohem oder höchstem maße die Befehlsgewalt über Truppen verschiedener Gattung und geographischer Herkunft miteinander zu vereinen. Da das Potenzial militärischer Funktionen keine Konstante bildete, wurde das Oberkommando des Reiches, abhängig von der jeweiligen Epoche, durch verschiedene Ämter repräsentiert. Die Zentralisierung des Oberkommandos wurde zur Zeit der Herrschaft der Amorier etabliert (Mitte des 9. Jh), und so erscheint als Oberkommandierender in Abwesenheit des Kaisers i.d.R. der Domestikos ton Scholon. Dennoch zeigen die Quellen, dass in der Zeit davor, sowie auch nach der Affirmativen des Domestikos ton Scholon die byzantinische Realität vielseitiger war, und daher erscheinen Offiziere, denen spezielle Mandate zugewiesen werden - erkennbar in den Termini Monostrategos und Strategos Autokrator. außer diesen verfugte auch der Stratege des jeweiligen Themas über Kommandobefugnisse akkumulativen Charakters. Es handelt sich hier um Amtstrager, die unbestreitbar über die hochrangigste Kommandogewalt verfugten und als solche der Spitze der militärischen Hierarchie angehörten. Allerdings ist nicht ganz klar, ob deren Befugnisse sich unter die Funktionen im Wortsinne subsumieren lassen, bzw. ob die Terminologie ihrer Benennung als Fachterminologie betrachtet werden kann. Dieses Dilemma bezieht sich nicht auf die Strategie der Themata, da dieser Terminus eine ganz konkrete und spezifische Bedeutung impliziert: es handelt sich um den militärischen und administrativen Statthalter eines Verwaltungsbezirkes, d.h. des Themas. Im Unterschied zu den Monostrategen und Strategie Autokratores werden die Strategoi der Themata regelmäßig in byzantinischen dienstlichen Ranglisten aufgeführt, den so genannten Taktika. Gerade auf der Basis dieses Kriteriums ist es in der Byzantinistik zur Aufteilung der Funktionen in sog. offizielle - d.h. solche, deren Träger in der hierarchischen Ordnung von oben nach unten in Taktik aufgeführt werden, und sog. inoffizielle - d.h. solche, über die in den offiziellen byzantinischen Ranglisten keine Angaben existieren, die aber in anderen Quellen aufgeführt werden, gekommen. In der Literatur wird die Meinung vertreten, dass die sog. inoffiziellen Funktionen nicht wirklich Funktionen im eigentlichen Sinne des Wortes sind, da es sich um Benennungen und Befugnisse handelt, die nicht mit Fachbegriffen, sondern mit literarischen Begriffen bezeichnet werden. Dies bedeutet strenggenommen, dass sich hinter diesen Ausdrucken die Deskription Erklärung der Herrschaft eines byzantinischen Beamten verbirgt. Die Qualifikation der Terminologie - Mann muss betonen, dass die wissenschaftliche Auseinandersetzung mit dem byzantinischen Staatsapparat in hohem maße durch die Terminologie in den Quellen erschwert wird, da byzantinische Autoren ungern von Fachtermini Gebrauch machen. Diese Tatsache wird insbesondere in der Domäne der Bezeichnung von Funktionen (d.h. in der Beschreibung der tatsächlich definierten Macht eines Einzelnen) deutlich, aber nicht nur hier. In der Benennung der obersten Befehlshaber - der Oberkommandierenden über die kaiserliche Armee im Feldzug, in der Expedition oder im Krieg, zeigen die Quellen, insbesondere die narrativen, eine große terminologische Vielfalt Der Stratege (aber nicht der Stratege des Themas), der Stratopedarch (aber nicht der Stratopedarch - einer der Ranghöchsten Offiziere der byzantinischen Armee, aus TE bekannt, dessen Dienst durch Nikephoros II. Phokas etabliert wurde) der Stratelates (aber nicht der Stratelates - Oberbefehlshaber über das Tagma des Stratelates, ebenfalls einer der Ranghöchsten Offiziere der byzantinischen Armee, im TE aufgeführt), der Katarchont, der Archont (aber nicht der Archont, der über eine Archontia - der kleineren Einheit der thematischen Ordnung - regiert, der Exarch usw. Die Vorliebe der byzantinischen Autoren, die Funktion eines Offiziers Deskription auszudrucken oder mit einem Archaikums zu bezeichnen, oder aber mit einem Terminus aus ihrer Epoche und nicht derjenigen, die sie beschreiben bzw. mit einem Terminus von allgemeinerer Bedeutung, fuhrt zu einer erheblichen Verwirrung beim Versuch, die möglichen Amtsbezeichnungen der Kommandofunktionen zu präzisieren. Daher war es auch am einfachsten, die hochrangigsten Kommandobefugnisse über die Taktik zu definieren, d.h. die aus erhalten gebliebenen Ranglisten bekannten Funktionen mit Recht als Fachtermini zu behandeln. Dennoch weisen einige Tatsachen auf die unberechtigte Exklusivität dieser Vorgehensweise hin. Zunächst muss festgestellt werden dass die Herrschaft der byzantinischen Beamten, sei es militärische oder zivile, vom Herrscher ausgeht und von dessen Willkür abhängt, so dass sie als solche nicht durch die entsprechende Funktion geregelt sein muss. Die byzantinische Praxis hat gezeigt, dass es in der Staatsverwaltung nicht zwingend eine Übereinstimmung zwischen Ämtern (aus denen selbstverständlich bestimmte Verfügungsgewalten hervorgehen) und der eigentlichen Befugnis/Herrschaft geben muss. Desweiteren stellen die erhaltenen Taktik keine fertigen und vollendeten dienstlichen Ranglisten dar, welche die Gegebenheiten der Epoche, in der sie entstanden sind, getreu widerspiegeln wurden. Die Tatsache, dass diese sich durch ein hohes Maβ an Traditionalität auszeichnen, schränkt ihren Gebrauchswert in der Domäne ein, so z.B. die Beurteilung und Bewertung der tatsächlichen Bedeutung einer bestimmten Funktion bzw. ihres Trägers. Andererseits Können erhalten gebliebene Ranglisten auch unvollständig sein und beispielsweise die aus anderen synchronen Quellen bekannten Funktionsträger gar nicht registriert haben. schließlich ist es, wenn man die Meinung akzeptiert, dass den byzantinischen Staatsapparat ein hohes Ma an Anpassungsfähigkeit auszeichnet, was bedeutet dass dessen Funktionieren oft durch die aktuellen Umstände bedingt war verständlich, dass der Kaiser von der Möglichkeit Gebrauch machte, Ämter zu benennen, genauer gesagt zuzuweisen, die nicht aus den ordentlichen in den Taktik registrierten Funktionen hervorgingen. Es handelt sich um spezielle Mandate, welche ziviler Natur (z.B. diplomatische Aktivitäten) wie auch militärischer Natur sein konnten. Da ein Feldzug, eine militärische Expedition und - allgemein gesprochen - Kriegsumstände schon von sich aus Ausnahmezustände darstellen, wurde das Funktionieren der militärischen Organisation oft durch die Zuweisung von ad-hoc- Befugnissen sichergestellt. Diese konnten selbstverständlich auch aus sog. Taktiken - Funktionen hervorgehen, aber nicht nur und nicht ausschließlich aus diesen. Alle drei Arten von Würdenträgerin - der Strategos des Themas, der Monostratege und der Strategos Autokrator - illustrieren einzelne Etappen in der Entwicklung des Oberkommandos des Kaiserreiches. Ihnen ist die Tatsache gemeinsam, dass mit den erwähnten Termini die militärischen Oberbefehlshaber bezeichnet wurden deren Kommandogewalt ähnlich oder sogar identisch mit derjenigen war, die seit der Mitte des 9. Jh. Aus der Funktion des domestikos ton scholon hervorging. Der Strategos des Themas - Vor der Zentralisierung des Oberkommandos, durch welche die Kommandogewalt des domestikos ton scholon erweitert wurde von den tagmatischen auf die Truppen des Themas bzw. der Provinz, dominierten die Strategen der Themata in der militärischen Hierarchie. Obwohl die Quellen keine expliziten Angaben über die Art und Weise machen, auf die die Oberbefehlsgewalt in Feldzügen, an denen die Strategen zweier oder mehrerer Themata mit den Armeen ihrer Bezirke beteiligt waren, reguliert war, herrscht kein Zweifel, dass die Rolle des Hauptkommandierenden vorübergehend durch einen der am Krieg oder Feldzug teilnehmenden Strategen übernommen wurde. Bei der Zuweisung temporärer hochrangigster Befehlsbefugnisse konnte der Kaiser sich von der in der offiziellen militärischen Hierarchie anerkannten Ordnung leiten lassen (welche durch die erhalten gebliebenen Taktik dargestellt wird), oder von seinem eigenen Willen und dem Vertrauen, das er in einen bestimmten Feldherrn hatte; manchmal wurde die Auswahl des Oberkommandierenden auch durch das Territorium, in dem der jeweilige Krieg geführt wurde, bestimmt. Die Affirmativen des domestikos ton scholon, welche unter den Amoriern erfolgte (Mitte des 9.Jh), reduzierte die Kommandogewalt des Strategen auf die Armee seines Heimatthemas. Allerdings zeigen die Quellen, dass es sich hier nicht um eine Regel, sonder eine übliche Praxis handelte. Zur Zeit als die byzantinische militärische Organisation auf einer thematischen und nicht auf einer tagmatischen Armee beruhte, konnten die Kommandobefugnisse des Strategen des Themas nach Bedarf Einheiten aus mehreren Bezirken umfassen. Erst die Professionalisierung der byzantinischen Armee, welche seit der Mitte des 10.Jh. erkennbar wird, führt schrittweise zu einer Einengung der gesamten - sowohl der militärischen als auch der zivilen - Befugnisse der Strategen der Themata. Dabei muss betont werden dass im Laufe der 2. Hälfte des 10. Jh., zur Zeit der ausgeprägten militärischen Expansionen des Reiches in Richtung Osten, die Strategen der grenznahen Themen (megäla rwmaika qëmata oder megäla äkritika qëmata) Feldzuge in der Zone der arabisch-byzantinischen Auseinandersetzungen anführten, und dabei mit dem domestikos ton scholon, dem Repräsentanten des Zentralkommandos, zusammen agierten. Das Gesagte bezieht sich vor allem auf die Strategen von Anatolikon, Kappadokia und Lykandos deren Bezirke von hoher strategischer Bedeutung waren, da sie die Durchgänge zum Inneren Kleinseins schützten. Jedoch forderte die Professionalisierung der Armee die Affirmativen eines neuen Offizierskaders, was gegen Ende des 10.Jh. zu Änderungen in der militärischen Hierarchie der Provinzen führte. Seit der Epoche des Nikiphoros II. Phokas, und besonders des Johannes I. Zimiskes, werden die Positionen neuer militärischer Funktionsträger in der Provinz amtlich gemacht, die des Doukas und des Katepano. Da deren Kommandogewalt weitläufige Territorien umfaßte, fiel den thematischen Strategen in den neuen Militarsystemen eine niedrigere Position zu, weil sie den Bezirksdoukai und Katepano untergeordnet waren. Der Monostrategos - Seit der Einführung des thematischen Systems wird der Begriff des Monostrategen in zweierlei Weise gebraucht. Damit wurde der Oberbefehlshaber der von aus zwei oder mehr Bezirken/Themata rekrutierten Soldaten zusammengesetzten Armeebezeichnet. Die Quellen zeigen, dass in der Zeit, zu der die Strategen der Themata in der Militärhierarchie die Übermacht hatten, als Monostratege aller Wahrscheinlichkeit nach ein Stratege eines Themas mit temporär erweiterten Komandobefugnissen bezeichnet wurde. Andererseits hat die Affirmierung des domestikos ton scholon, durch welche im Wesentlichen die Zentralisierung des Militärkommandos im Osten des Reiches durchgeführt worden war, ermoglicht, dass mittels der Zuweisung der Befugnis des Monostrategen fast der gleiche Typ und Rang der Befehlsgewalt auch im Westen geregelt werden konnte. Daher taucht in den Quellen zum Monostrategen das Schlagwort des 'Westthemas' (ta dutika qemata) auf, unter denen in selteneren Fallen die Thrakisch - makedonischen Truppen zu verstehen sind, viel häufiger allerdings die Armeen der Lombardei, Kalabriens und Kephaloniens, welche die Kriegsschauplätze in Suditalien abdeckten. Die Angaben, die in den sphragistischen Quellen zum Monostrategen gemacht werden, bestärken die Annahme, dass sich hinter diesem Terminus eine äußerst spezifische Bedeutung verbergen konnte. Der Strategos Autokrator - Die inhaltliche Vielfalt der Quellenangaben zum Strategos Autokrator Schränken die Möglichkeit ein, diesem Terminus eine präzise Bedeutung zuzuordnen. Obwohl durch dessen Gebrauch ein außerordentlich hoher Grad der militärischen Gewalt betont wird, ist schwer festzustellen, ob es sich um eine besondere Funktion von außerordentlichem Charakter handelt oder nur um die Zuweisung spezieller Befugnisse. Für die letztere Annahme spricht, dass es zahlreiche Nachrichten gibt, in denen die Befugnis des Strategos Autokrator mit dessen Funktion als domestikos ton scholon verbunden war. Es ist jedoch bezeichnend, dass die Angaben über den Strategos Autokrator, besonders diejenigen, die sich auf die zweite Hälfte des 10. Jh. und die erste Hälfte des 11. Jh. beziehen, zeigen, dass es zur Verleihung dieser Funktion immer unter komplexen militärisch - politischen Umständen (ehrgeizige Expeditionen, Herstellung oder Verteidigung der byzantinischen Präsenz in einem bestimmten Gebiet, Unterdrückung von Aufstanden gegen die zentrale Regierung) kam. Besonders die den Strategos Autokrator begleitende Auβerordentlichkeit und der ungewöhnliche politische Kontext führten dazu, dass dieser Terminus nicht ohne weiteres mit dem des domestikos ton scholon gleichzusetzen ist. Allem Anschein nach stellt der Strategos Autokrator keine besondere Funktion dar, sondern eine Art Spezialmandat, durch welches die Kommandogewalt eines Amtstragers betont wird. Es ist bezeichnend, dass mit dem Terminus Strategos Autokrator auch die Militargewalt des romanischen Kaisers bezeichnet wurde. Durch den Terminus Strategos Autokrator wird der militärische Charakter des Herrschers hervorgehoben, und so konnte dieser auch durch den Begriff 'Soldatenkaiser' ersetzt werden, bzw. in wörtlicher Übersetzung 'alleinherrschender Soldat' welcher von Michael Psellos (Psellos, Chron. II,18) verwendet wurde. Interessant ist, dass auch Michael Attaliates in seiner Historie die Usurpatoren des Kaisertitels in zwei Fallen als Strategie Autokratores bezeichnet (Attal. 23,54) und somit diesen Terminus synonym mit dem Begriff Kaiser (=Autokrator) verwendet. In beiden Fallen handelte es sich um Anführer sog. Soldatenaufstände: mit kaiserlichen Insignien dekoriert wurde Leo Tornikios 1047. seitens seiner Anhänger in Adrianopel 'als Strategos Autokrator verschrien' (stratēgos autokratōr para tōn synontōn aytokratora); zehn Jahre später wurde Isaak Komnenos in Kastamonu zum Strategos Autokrator proklamiert (anagoreuousi stratēgon aytokratora).
Od mita ka istoriji ili od stepe ka Izrailju
Od mita ka istoriji ili od stepe ka Izrailju
(ruski) V stat'e rassmatrivajutsja koncepcii vremeni i istorii v bolgarskom srednevekovom obščestve, jazyčeskom i potom hristianskom, na osnove Imennika bolgarskih knjazej (hanov). Ëtot tekst došel do nas v pozdnyh russkih spiskah, nahodjaščihsja v sostave Ellinskogo i Rimskogo letopisca, gde sleduet neposred­stvenno za biblejskoj Četvertoj knigoj Carstv. Takim obrazom novokreščennye bolgary priobščajutsja k biblejskoj istorii Čelovečestva, smysl kotoroj - Spasenie ljudej.

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