Prilozi za knjizevnost, jezik, istoriju i folklor

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Title: Prilozi za knjizevnost, jezik, istoriju i folklor
ISSN: 0350-6673
eISSN: 2406-0798
First published: 1921
Frequency: annually
Subject: history, archeology and ethnology; language and literature; other humanities
Publisher: Filološki fakultet
Publisher address: Studentski trg 3, 11000 Beograd, Serbia
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Editor in chief: Zlata Bojović, Serbia
Editorial board: Slobodan Grubačić, Serbia
Giorgio Ziffer,
Milica Jakobiec-Semkowowa,
Tomislav Jovanović, Serbia
Jovanka Kalić-Mijušković, Serbia
Nada Milošević-Ðorđević, Serbia
Dragana Mršević-Radović, Serbia
Johannes Reinhart,
Ðorđe Trifunović, Serbia


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Les relations entre la France et Raguse à dix-huitième siècle
Les relations entre la France et Raguse à dix-huitième siècle
Les relations entre la France et Raguse duraient, sans cessation, plus de trois siècle. Ces relations étaient politiques, mercantileset culturelles. Raguse supportait la plus forte influence, littéraire surtout, a dix-huitième siècle. Les savants considérables de Raguse, comme Ruđer Bošković et Anselmo Banduri (Bandurović), habitaient en France, et a Raguse pénétrait la littérature française, spécialement les comédies de Moliere.
Les relations éducatives entre la Serbie et la France dans la période 1936-1940
Les relations éducatives entre la Serbie et la France dans la période 1936-1940
Le premier XIXe siècle met la Serbie en contact plus intense avec la France, berceau des valeurs démocratiques et du patrimoine culturel européen aux yeux des Serbes subissant l’occupation turque depuis des siècles. C’est à partir de cette période que commencent à se développer les liens culturels, politiques et éducatifs plus étroits entre deux pays, particulièrement renforcés pendant la Grande Guerre, où la France aide les jeunes serbes en leur ouvrant la porte de ses écoles et universités. La Convention signée en 1920 en vue de la mise en place de la coopération intellectuelle et éducative (surtout universitaire) des deux pays prévoyait également la position privilégiée de la langue française au sein du système éducatif serbe : en effet, dans les années 30 du XXe siècle, celleci sera la matière la plus enseignée après la langue serbe et les mathématiques, et le Ministère des affaires étrangères françaises enverra régulièrement des livres français, ainsi que des diplômes et médailles pour les meilleurs élèves. En raison de la croissance de l’influence politique italienne et surtout allemande dans les Balkans, un Congrès des clubs français de Yougoslavie, tenu en 1935, marque le début des démarches coordonnées visant à renforcer la présence française dans tous les domaines de la vie sociale yougoslave. Les responsables du Département d’éducation auprès de l’Ambassade yougoslave à Paris (Aleksandar Arnautovic puis Milan Markovic) informaient régulièrement Belgrade des activités dans la capitale française et ailleurs. Les boursiers du Gouvernement français (qui accordait la moitié de la somme totale du budget aux étudiants yougoslaves, dont le nombre variait entre 60 et 100 par an dans la période 1936-1940), du retour dans leur pays, répandront l’esprit de la culture française, ainsi que les connaissances acquises dans tous les domaines. Parmi les personnalités importantes qui excelleront dans leur métier se trouvent : Dr Vukan Cupic, professeur à l’Université de Belgrade et directeur de l’Institut belgradois pour la mère et l’enfant (boursier du fonds d’Alexandre de Yougoslavie de la mairie de Marseille 1938-1940), le chimiste Pavle Savic qui collaborait avec Irène Curie, Dr Borisav Arsic qui a soutenu la thèse La Vie économique de la Serbie du Sud au XIX siècle (Paris, France-Balkans, 1936), Dr Branislav Vojnovic, directeur du Théâtre national, Dr Milos Savkovic qui étudiait l’influence de la littérature française sur le roman serbe etc. Les jeunes yougoslaves choisissent surtout la littérature, les arts et les sciences humaines. D’autre côté, le gouvernement yougoslave finançait chaque année cinq étudiants français faisant la recherche au sein des universités yougoslaves. De nombreuses conférences sont dispensées par les professeurs yougoslaves et français ; les écoles franco-serbes, l’Institut français, les clubs et les associations de l’amitié donnent les cours de français ; l’Association des étudiants en langue et littérature françaises organise les soirées françaises et va régulièrement en excursions en France ; le Ministère d’éducation finance les formations estivales des professeurs de français. Du côté français, l’Institut slave, la Chaire de serbo-croate à l’École de langues vivantes orientales avec des professeurs éminents tels André Vaillant et André Mazon, le Lectorat serbe à Paris, Strasbourg, Lyon etc. contribuaient aux études yougoslaves. La langue serbo-croate a été inscrite sur la liste des langues vivantes que les élèves pouvaient passer au baccalauréat en 1936. Pourtant, cet épanouissement sera de nouveau menacé par une pénétration politique et économique des forces de l’Axe de plus en plus forte à la veille de la Deuxième guerre mondiale : c’est ainsi que l’allemand devient la langue étrangère obligatoire au detriment du français en 1940, les entreprises françaises ferment leurs portes, tandis que de nombreuses activités culturelles et démarches éducatives cherchent à préserver l’état privilégié dont la France jouissait en Serbie depuis la Grande Guerre.
Les soins pour l'âme
Les soins pour l'âme
Le testament du seigneur féodal serbe Miloš Belmužević (1500) ainsi que les testaments et les legs pieux, fails en faveur de la sauvegarde de l'âme présentent, en ce qui concerne la structure et le contenu, d'importantes ressemblances avec les poèmes épiques orales sur les dernières volontés de 1'héros. Le modèle testamentaire est poétise dans les poèmes de vers longs dits bugarchtitschas et ceux en décasyllabes, tant sous forme de structuré intégrale que sous forme d'unîtes thématiques autonomes qui entrent d'une maniéré indépendante dans les nouvelles structures, en combinaison avec les motifs traditionnels apparentes. De certaines expressions et formules se sont conservées sans modifications dans les modèles écrits et oraux, ce qui indique l'unité de la culture traditionnelle et féodale et a 1'origine commun de plusieurs de leur catégories, symboles et modelés.
Literarische Gestalt von Božidar Stojadinović
Literarische Gestalt von Božidar Stojadinović
Zaboravljeni srpski pesnik s početka XX veka, Božidar Stojadinović, svojim nevelikim književnim opusom skrenuo je pažnju na sebe činjenicom da su od petnaest njegovih pesama objavljenih u časopisu "Misao", sedam ušle u poznatu "Antologiju najnovije lirike" ovog časopisa. U radu se osvetljava njegovo književno delo u celini, uključujući i rukopisnu zaostavštinu. Kao pesnik se pojavio u dnevnim novinama "Štampa", 1911. godine, kao šesnaestogodišnjak. U toku balkanskih i Prvog svetskog rata objavljuje pesme u "Štampi", "Radničkim novinama", "Tribuni", "Cetinjskom vjesniku", "Srpskim novinama", "Zabavniku" i "Ratnom dnevniku"; a posle rata u "Vidovdanu" i časopisu "Misao", kao njegov stalni saradnik. Posle smrti, njegove pesme štampaju "Misao", "Invalidski glasnik ", "Reč ", "Srpska otadžbina ", "Domovina " i "Venac ". Pesme mu se nalaze i u dvema posleratnim antologijama: "Antologiji najnovije lirike" (1921; 1926) i "Antologiji srpskohrvatske posleratne lirike". Objavio je jednu zbirku pesama "Samom sebi", 1921. godine.
Literary-critical thought in the interwar journal “Our Reality” (1936-1939)
Literary-critical thought in the interwar journal “Our Reality” (1936-1939)
This work is a part of a comprehensive study of the role and importance of the magazine “Our Reality” (1936-1939) and is an extension of the already published works by the same author: “Our Reality” in the forties of the twentieth century, Twilight of lyric poetry in “Our Reality” and the philosophical background of “Our Reality”, the journal of literature, science, art and all the social and cultural issues. In addition to numerous critical articles about the old and new literary creations of writers who have worked in the interwar period, or those whose ideas were in line with program definition of this magazine, in “Our Reality” are systematically published and peer reviews on literature and other arts, and are parallel presented as literary, theater, art, music and the film critique. Interesting views of the editorial and other staff of “Our Reality” (Djordje Jovanovic, Jovan Popovic, Milos Savkovic, Alexander Vuco, Milovan Djilas, Radovan Zogovic, Velibor Gligoric ...) represent a valuable testimony of literary ideology based on the principles of engaged literary expression and based in social realism.
Marin Držić i 'Il progetto drammaturgico' Alesandra Pikolominija
Marin Držić i 'Il progetto drammaturgico' Alesandra Pikolominija
Il Teatro a Sienanel Cinquecento era molto importante per Le opere drammatiche di Marino Darsa. (M. Darsa era a Siena 1539-1544) Darsa scriveva le commedie 'erudite' sotto l'influsso dell' Teatro dell' Accademia degli Intronati, specialmente sotto l'influsso di Alessandro Piccolomini. Marino Darsa conosceva sue commedie L'Amor costante(1536) e L'Alessandro (1544), anche i trattati poetici. Il progetto drammaturgico di A. Piccolomini viene schematicamente descrito da Piccolomini alla dedica ad A. Coco e stampata all'edizione del trattato astronomico La sfera del mondo. Marino Darsa prendeva: 'la nuova moda gia introdotta dal cardinal di Bibiena e dall'Ariosto di scriverla/la commedia/ in prosa' principio della verisimiglianza, diverse sorti di persone e la vita commune de l'uomo, l' uso di lingue e di abiti stranieri nella commedia, il principio piccolominiano di universale etc. .
Mavro Vetranović and Petrarchism
Mavro Vetranović and Petrarchism
Mavro Vetranović ’s relationship to Petrarchism could be described only as a partial emulation of the themes, motifs, poetic images and language from Petrarch’s book of poems Il Canzoniere. Ragusan poet didn’t remain at the level of imitation or stereotypes. Petrarchan characteristics of his poetry cannot be linked only to the patterns of love poetry of the time, but became a sort of spreading of Petrarch’s language and motifs that face secular love and religious moral values which Christian Renaissance tended to preserve.
Mačva fortress, Mačva territory
Mačva fortress, Mačva territory
Nowadays is Mačva region of the Republic Serbia between the rivers Drina and Sava. Its name is derived from the Hungarian fortress Macho recorded in the 13th century. Originally it was more extended toward south and east, it inherited the province of Sirmium from the Byzantine period. Under the rule of the Hungarian kings Mačva was conferred to the closest relatives of the ruler. Since the end of the 13th century the region was disputed between Hungarian and Serbian kings. The fortress was situated on the southern bank of the river Sava, but its exact location remains unknown.

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